La coordination régionale de Bamako de la COCEM a organisé à la mi-décembre sa session technique sur les principes de la citoyenneté active et les pratiques démocratiques. Un atelier qui met fin à une série de sessions techniques tenues dans cinq régions et le district de Bamako.
“La présente session vise à vulgariser entre autres les notions de citoyenneté active, d’engagement civique et de gouvernance démocratique auprès des acteurs locaux, particulièrement les groupes en situation de vulnérabilité (jeunes, femmes, PVH, PDI), tout en favorisant un dialogue constructif entre les institutions publiques, la société civile et les citoyens”, a déclaré, le 17 décembre 2025, Ichakha Fofana, coordinateur de la coordination régionale de Bamako, au cours de la cérémonie d’ouverture des travaux.
Cet atelier de deux jours à l’endroit des acteurs locaux a été marqué par des communications, des sessions de brainstorming, des discussions de groupe et des travaux de groupes thématiques. Il devait permettre de contextualiser les principes de la participation citoyenne dans les réalités locales de la région, d’identifier les défis spécifiques liés à la gouvernance et de proposer des pistes d’action pour renforcer la redevabilité et l’engagement civique à la base.
Selon le coordinateur de la coordination régionale, l’ambition est de promouvoir une gouvernance de proximité inclusive et d’encourager l’émergence d’un réseau d’acteurs engagés pour le suivi citoyen des politiques publiques au Mali.

Il consacre la fin des sessions techniques à l’endroit des acteurs nationaux sur les principes de la citoyenneté active et les pratiques démocratiques. Entre le 17 et le 20 novembre, il y a eu des sessions dans les régions de Kayes, Mopti et Gao. Du 9 au 18 décembre, les sessions régionales de Sikasso, Ségou et du District de Bamako se sont déroulées.
L’objectif de ces sessions était de “renforcer la compréhension et la pratique des principes de la citoyenneté active et de l’engagement civique pour une participation accrue et inclusive des acteurs à la gouvernance démocratique”. L’initiative a permis de renforcer les connaissances de 288 acteurs nationaux sur la thématique.
M.C/NouvelleAfrique






