Après la réussite de ses deux premières éditions, le Salon des Universités, Instituts et Grandes Écoles du Mali (SAUGE-Mali) revient. Sa troisième édition est annoncée pour les 16 et 17 octobre prochain à Bamako.
À Bamako, la troisième édition du Salon des Universités, Instituts et Grandes Écoles du Mali (SAUGE-MALI) est en préparation. La date de sa tenue a été dévoilée par FEERIK Event, structure organisatrice.
“L’évènement de cette année se tiendra à Bamako du 16 et 17 octobre 2025”, a annoncé cette agence, dans un communiqué. Cette édition aura pour thème central : “la préparation de l’enseignement supérieur au Mali”. Elle vise à offrir un espace d’information, d’orientation et d’échanges aux élèves, étudiants et parents ; mettre en valeur les offres de formation des universités, instituts et grandes écoles ; débattre du rôle de la recherche dans l’enseignement supérieur et dans le développement socio-économique du pays et à promouvoir la visibilité des établissements et renforcer les opportunités de partenariat.
Elle réunira à Bamako plusieurs sommités issus des Universités, instituts et grandes écoles publics et privés et des partenaires techniques et financiers de l’éducation. Il s’agit, entre autres, des Enseignants-chercheurs, étudiants, lycéens et parents ainsi que les Jeunes diplômés en quête d’opportunités. Elle se veut une vitrine pour renforcer la visibilité des universités, Instituts et grandes écoles du Mali.

Ce Salon devrait permettre une meilleure orientation des nouveaux bacheliers vers des métiers et des filières porteurs d’emplois. Il devra également contribuer à accroître la visibilité des universités, instituts et grandes écoles et aboutir à la production d’un mémorandum destiné aux plus hautes autorités du Mali.
Il sera marqué par des visites des stands, des Conférences sur les thématiques, ateliers pratiques, en plus des cérémonies d’ouverture et de clôture. Il mettra en perspectives la volonté de créer une plateforme d’informations et d’orientations pour les élèves et étudiants autour de la problématique du choix de leurs futurs établissements et filières d’études.
F.K/NouvelleAfrique